jeudi 25 avril 2024

Gaz B, gaz A

18 avril 2013, 15:33
Dernières modifications le 18 mars 2023·7 minutes de lecture

Je m’attaque à un sujet qui provoque des réactions épidermiques. Quoi de plus normal quand il est question de la souffrance et de la mort de millions de personnes et des séquelles que nous ressentons encore tant d’années après. En réalité, j’avais déjà répondu à la question, mais à mots cachés et je suppose que personne n’a réellement prêté attention à ce post à l’époque. A présent, j’assume de dévoiler certains épisodes de ma vie de ces derniers mois, ainsi que la façon dont certaines choses me sont révélées. Que vous me croyiez ou pas. Tout d’abord je voudrais partager une idée qui m’est venu en discutant sur le sujet. De tous temps, à notre époque et pour longtemps encore, des propos sont tenus qui alimentent les polémiques, génèrent les troubles et la violence. Je suppose qu’ils s’équilibrent avec ceux qui génèrent la paix et le bonheur. Le monde est ainsi fait. Nous ne pouvons qu’espérer nous diriger vers le mieux. Nous revenons au principe de l’intention si souvent mentionné dans le Coran.

Si l’intention qui nous anime est bonne, alors, malgré les erreurs parfois lourdes de conséquences à court terme, l’avancée de l’humanité va vers le meilleur. Aussi, il convient d’admettre que la Vérité pleine et entière requiert du temps. Je suis bien placé pour le savoir, puisqu’en ce moment je travaille sur un mensonge qui perdure depuis 2000 ans et qui a conditionné le monde dans lequel nous vivons. Le métier d’historien ne consiste pas à recracher ce qui est écrit dans les manuels d’histoire traditionnels, mais bien de remuer la matière écrite pour en faire ressortir la vérité. Aussi, sur bon nombres de sujets, des historiens prendront position et auront la communauté de leurs confrères sur le dos. C’est un processus sain et normal. Ce qui est beaucoup moins sain c’est la manière dont certaines théories vont être médiatisées et instrumentalisées. Pour parler concrètement, si personne n’avait prêté l’oreille à ce que disait celui qui contestait, et dont je suis obligé de ne pas mentionner le nom pour passer sous les radars, il aurait continué son travail d’historien et aurait changé de sujet. Il est un peu facile de stigmatiser un individu. Peu de monde prête de crédit aux ufologues par exemple. Si la question a provoqué tant de remous, c’est qu’il devait bien y avoir quelque chose à comprendre.

Lorsque l’on considère la période de l’Allemagne N, il y a toujours un moment où l’on se heurte à un mur. Je me souviens de ce documentaire nommé « Apocalypse H. ». Rien que ce titre est à lui-seul une entreprise de désinformation. Il était très bien documenté et tout apparaissait très logique. Toutefois, un point me préoccupait: je ne saisissais pas comment un leader, fut-il un bon orateur, d’un groupuscule  menant avec une poignée d’individus un semblant de coup d’état et jeté en prison, en sortait si vite et se retrouvait en très peu de temps avec une partie du pays derrière lui. Le mot argent m’est automatiquement venu en tête. Mais je n’avais pas les outils pour résoudre cette question et j’ai du la laisser dans un recoin de ma tête. Et puis me voici en 2012, j’avais une toute autre approche de l’histoire humaine. Je pouvais à présent me servir de l’eschatologie pour dénouer les nœuds. J’abordais donc la deuxième guerre mondiale sous un autre angle. Conscient du tabou que j’affrontais, (j’ai visionné de nombreux documentaires sur le sujet ces dernières années) je regardais donc les documentaires controversés pour me faire ma propre opinion. Je dois reconnaître qu’il est très convaincant et qu’à la fin, on se pose réellement des questions.

Si je me suis mis dans cette recherche, c’est aussi parce que j’ai été coincé dans un bateau de quelques mètres carrés en panne au milieu d’une baie  pendant plusieurs jours. Heureusement pour moi, j’avais internet et je visionnais les documentaires sur mon téléphone. Je n’ai pas abordé le sujet à bord, et personne ne savait ce que je faisais. Je retire mon casque de mes oreilles. Les questions tournent dans ma tête. Alors serait-ce cela la vérité? A ce moment là, pour une raison que j’ignore, mon frère pose une question: 

« Comment a t-on démasqué Landru? »

Aussitôt, je lui apportais la réponse que je connaissais parfaitement: Landru était un homme méthodique, il conservait les reçus de ses billets de train et ils ont tous été retrouvés. Il ne prenait qu’un retour pour deux allers pour sa maison de campagne où on le suspectait de bruler les cadavres de ses victimes dans le poêle. Des restes ont été retrouvés en grande quantité. Landru n’était qu’un vulgaire escroc attiré par l’argent, qui a, pour une raison inconnue, franchi une étape supplémentaire dans le mal.

Le parallèle est aisé à saisir. Les n étaient très méthodiques et ceux qui prenaient le train des camps de concentration n’avaient pas de retour. J’avais donc ma réponse: les fours crématoires ont bel et bien existé  dans une volonté  d’appropriation des biens planifiée et massive. Le DSK (Devisen Schütz Kommando, en français « Détachement pour la mise en sûreté des devises ») était au cœur de ce système n. Les conditions de détention étaient tellement inhumaines, que la mort par la maladie, le travail ou la malnutrition, en peu de temps était voulue et inévitable. Ce n’est donc pas la volonté d’extermination d’un peuple qui était le moteur de la Shoah mais une conséquence de l’ampleur d’une dépossession ciblée. L’existence des chambres  me parait être une affaire qui appartient aux experts de la question, mais ne peut en aucun cas devenir un dogme (vérité absolue). Sa contestation ne peut donc être considérée comme un crime. Le professeur n’a jamais contesté la souffrance du peuple juif.

Reste le financement de l’accession au pouvoir. Mais je crois que nous n’avons plus trop de doute là-dessus: le Concordia a coulé devant les yeux du monde entier.

 

Notes:

Landru

http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_D%C3%A9sir%C3%A9_Landru

DSK 

« Avec l’aide du DSK (Devisen Schütz Kommando, en français « Détachement pour la mise en sûreté des devises »), ils ouvraient les coffres des banques, l’argent et l’or étaient rachetés à vil prix aux propriétaires, en cas de refus, le sort était réglé par la déportation. Si le propriétaire était juif, tout était confisqué et la Gpo s’occupait de la personne, et celle-ci finissait en prison et souvent la déportation. L’équipe de « la Gpo de Neuilly » confisqua plus de quatre tonnes d’or. »

 

Le Devisenschutzkommando, ou le DSK, était une unité de pillage spéciale n de soldats S triés sur le volet qui opéraient en Belgique, en France et aux Pays-Bas. L’appareil a été mis en place au cours de la Seconde Guerre mondiale. Ils ont été accusés de localisation et acquisition de l’or juif pour les ns, en utilisant la violence et de la torture dans le processus. L’unité a été dirigé par Herbert S et son adjoint. L’organisation a été soutenue par une douzaine de collaborateurs français connus sous le nom Vertrauensmann, ce qui signifie homme de confiance en allemand.